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Quelques mots me concernant ...

 

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Je vous laisse découvrir mon blog où vous trouverez les témoignages, anecdotes et coups de gueule d'une presque trentenaire en situation de handicap qui essaie d'attraper les instants de vie au vol ! Écrire me fait du bien et échanger encore plus ! Alors n'hésitez surtout pas à réagir... Mon message est clair: dédramatisons la maladie ou le handicap. Faisons en une force !

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 20:30

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Je n'avais pas spécialement prévu de reparler de toi, ni même de repenser à toi. Non. Depuis de longs mois maintenant, en fait depuis que tu m'as licenciée pour motifs économiques, tu ne fais plus partie de ma vie. Enfin, tu as bien essayé les premiers mois que ça soit encore le cas. Tu m'as harcelée. Chaque jour, chaque semaine pour que je te rende service. Je n'ai pas cédé, j'ai tenu bon. Mais à quel prix ?

 

Déjà, il fallait que j'accepte le fait que j'avais perdu mon travail après sept à travailler pour toi. Mais en plus de cela, il fallu que je me batte contre toi. Alors que plus rien ne nous liait. Alors bien sûr, j'ai tout intériorisé et résultat, c'est mon dos qui a tout pris. À cause de toi, j'ai souffert (et souffre encore parfois) d'épouvantables douleurs au dos. Je ne te remercie pas. Je m'en serais bien passé, crois-moi.

 

Alors, vois-tu en cette fin d’après-midi, sans que je ne le vois venir, tu m'es revenu en pleine gueule. J'étais en face d'une personne pour un rendez-vous plutôt important. Et puis, cette personne m'a interrompue et m'a posé une simple question : pourquoi avez-vous si peu confiance en vous ? Chbam. Là, j'ai senti une énorme faille s'ouvrir en moi. La dégringolade. La dégringolade parce que la première chose qui est venue à mon esprit, c'est toi.

 

Les images et les souvenirs se sont mis à danser devant moi. Tous plus désagréables les uns que les autres. J'ai repensé à toutes ces fois où tu me rabaissais, où tu me faisais comprendre que mon travail n'était pas satisfaisant alors que je me tuais à la tâche. Alors, bien sûr, tu n'avais pas le cran de me le dire en face. Non. Tu étais plus vicieux que cela et le faisais en pleine réunion devant les clients. Toujours une petite remarque pour dire que j'avais mal fait ci ou ça. Alors que c'est toi qui m'avais demandé de le faire.

 

J'ai repensé à toutes ces fois où tu me vendais du rêve en me disant que tel projet, ce serait MON projet. Que j'avais carte blanche. Alors, moi, tu vois, j'étais ravie. Je me disais, enfin, c'est pas trop tôt depuis le temps. Alors, je me défonçais sur le projet. Ne comptais pas mes heures et rentrais chez moi le soir satisfaite de mon travail. J'avais enfin un peu d'autonomie dans le travail. Et puis, je revenais le lendemain matin et trouvais mon travail sur ton bureau, complètement modifié. Parce que tout compte fait, c'est toi qui allait t'en occuper. Tu étais comme ça, toi. Tu offrais la lune et la reprenais aussitôt.

 

Pas une fois en sept ans, tu ne m'as dit que tu étais satisfait de mon travail. Tu prenais toujours tout pour acquis. Élodie, elle est gentille, elle fait tout ce qu'on lui demande. Ben oui, bien sûr, vas-y mec, hésite pas. Je me rappellerais toujours de cette fois pendant mes vacances de Noël, où tu m'avais appelée en me demandant de venir d'urgence au bureau parce qu'il fallait absolument rendre un projet. J'étais sur Paris, il neigeait. Ce jour là, tu as perdu une grande partie de mon respect, je dois te le dire.

 

Malgré mes congés, j'ai sauté dans le premier train. Sauf qu'à cause de la neige, il avait du retard. Alors, je suis arrivée 2h plus tard que ce que je t'avais dit au bureau. Oh le drame. Tu m'as accueillie avec un c'est pas trop tôt, tu te moques de qui. J'étais ravie, tu penses. Je n'étais pas de bonne humeur, j'ai fait mon travail en trainant les pieds, c'est vrai. Normal quoi. Et puis, j'ai quitté le bureau très tard dans la soirée. Et pour la première fois, j'ai osé te tenir tête et te dire ce que je pensais de cette situation. Je t'ai dit qu'il ne fallait pas que tu oublies ce que j'avais fait pour toi, un jour de vacances. Et que c'était la première et dernière fois qu'une chose pareille se produisait.

 

Des anecdotes comme celles-là, je pourrais en raconter des dizaines. Sept ans, c'est long avec quelqu'un comme toi. On ne s'ennuie pas, oh ça non. Je ne savais jamais de quoi allait être faites mes journées. Tu étais tellement lunatique que tout pouvait basculer à chaque instant. Pour tout. Pour rien. Toi seul comprenais tes réactions et tes humeurs dans ces moments là.

 

Ce n'est qu'aujourd'hui, presque six mois après la fin de notre collaboration que je me rends compte à quel point tu m'as abimée. À quel point ton comportement a été vicieux, caché aux autres, durant toutes ces années. Au point que je ne me rendes pas compte que chaque jour, tu grignotais davantage ma confiance en moi. Comme si tu t'étais mis en tête de faire de moi une bonne à rien. Au point qu'aujourd'hui, je le crois presque. Et que je suis incapable de croire en mes capacités. J'ai l'impression que je ne sais plus rien faire.

 

Et tu vois, de ça, je t'en veux énormément. Je m'en veux aussi de n'avoir ouvert les yeux sur tout ça qu'une fois sortie de ton emprise. Maintenant, j'ai ouvert les yeux et je réalise qu'en réalité, le problème ce n'est pas moi. Non, c'est toi. Ta personnalité malsaine. Tu es malsain. Tu ne sais pas communiquer avec les autres autrement que par le mépris, la domination. Tu te crois le meilleur. Mais tu es si médiocre, en fait. Tu me fais limite pitié. Vraiment.

 

Alors aujourd'hui, je voudrais te dire qu'en fait tu m'as rendu service en mettant fin à mon contrat. Parce que je suis désormais libérée. De toi. Et je ne m'en porte que mieux. Alors oui, je n'ai plus de travail pour le moment. Mais ça ne durera pas toute la vie. Je fais ce qu'il faut pour que cela change. Mais en tout cas, je ne suis plus prise dans ta toile d'araignée.

 

Je revis, je ne suis plus polluée par ta mauvaise humeur, ta mauvaise foi. Maintenant que tous ces mauvais souvenirs sont réapparus, je les ai désormais balayés. Je me sens bien plus légère ce soir. J'ai compris certaines de mes appréhensions de ces derniers temps. C'est parce que, sans le savoir, j'avais ton ombre qui me suivait et me soufflait dans l'oreille que je n'y arriverai pas.

 

Mais, en fait, SI. Je vais y arriver parce que tu n'existes plus pour moi. Tu n'es désormais plus qu'un vague souvenir. Et désormais, je choisis de me faire confiance. À nouveau.

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commentaires

T
<br /> Bonjour Elodie !<br /> <br /> <br /> J'ai trouvé votre article ce matin aussi sur Huffingtonpost.fr.<br /> <br /> <br /> J'ai beaucoup lu votre site mais surtout vos articles concernant votre santé par rapport à votre ex employeur et votre travail.<br /> <br /> <br /> Comme tout le monde, je veux vous féliciter pour votre ténacité et votre courage d'avoir tenu 7 ans avec ce gros c*n d'enc*lé mais aussi un espèce d'enf**ré.<br /> <br /> <br /> Excusez des mots fleuris ci dessus !<br /> <br /> <br /> En tout cas, moi, je ne pourrais pas tenir si longtemps !<br /> <br /> <br /> Je l'aurai frappé peut être arrêt maladie longue durée voir caméra cachée avec votre GoPro puis mettre les vidéos sur youtube ! Enfin ce serait mon cas en tout cas ....<br /> <br /> <br /> Je tiens à vous dire que je vous encourage et " prie " pour vous afin de retrouver un job équivalent au plus vite car les personnes comme vous, qui ont du courage ( surtout venir dépanner ce c*n<br /> durant vos vacances hivernales, cela, faut le faire ! et j'en connais à ma guise, aucun ! ) méritent mieux d'être " traiter " .<br /> <br /> <br /> Aucune personne ne mérite tout ce que vous avez vécu surtout avec votre handicap !<br /> <br /> <br /> Je vous tire mon chapeau et vous souhaite une bonne journée !<br /> <br /> <br /> Continuez à écrire car cela me donne mais pas qu'à moi, d'être " consciencieux " et d'être plus " humain " .... pour autrui.<br /> <br /> <br /> Je vous remercie pour vos expériences.<br />
Répondre
M
<br /> <br /> Merci pour votre message de soutien, cela me touche beaucoup. Au plaisir de vous relire sur le blog :)<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> Je voulais te féliciter pour cet article et sa parution dans le Huffington post ce matin.<br /> <br /> <br /> Je voulais aussi, en tant que RH formée pour être manager, préciser que les managers Pervers Narcissiques (ou PN) ne sont pas une norme ni un modèle dans une formation comme la mienne. On ne nous<br /> apprend pas à manager de cette façon, mais au contraire, en respectant les lois et davantage : les gens.<br /> <br /> <br /> Je pense donc avec ma modeste expérience (j'ai cotoyé PN comme managers sains) que ce n'est pas un choix stratégique ni économique, mais une limitation bien humaine. Hélas, les PN se remettent je<br /> crois (d'après mon expérience et mes lectures) très rarement en question, et il me semble que c'est très difficile de guérir d'une telle pathologie. Une seule solution : fuir le plus vite<br /> possible et surtout, s'en remettre peu à peu.<br />
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M
<br /> <br /> Merci Caroline ! En effet, je pense que les PN ne sont pas capables de se remettre en question. C'est bien cela qui les rend si dangereux ;) Comme tu le dis, la seule solution est de les fuir !<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> Bonjour, ton billet me touche beaucoup car j'ai vécu la même situation...sauf que moi j'ai complétement craqué au bout d'un an et demi... alors tenir 7 ans... Cette situation fait des ravages,<br /> détruit la confiance en soi. Il faut alors tout reconstruire et ça prend du temps ! Je t'admire de réussir déjà si rapidement à tenir ce discours, à te révolter contre ce que tu as vécu. Continue<br /> comme ça et ne doute plus de toi !<br />
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M
<br /> <br /> C'est vrai que la reconstruction prend du temps mais je crois que l'essentiel est d'en être sorti :)<br /> <br /> <br /> Merci de tes encouragements en tout cas !<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Et béh !!! Il y a des gens qui se prennent vraiment pour je ne sais qui hein !!!<br /> Ca détruit des gens ainsi, bordel. Ils ont eux mêmes des problèmes mais ne savent pas les régler et rejettent leur mal être sur les autres ....<br /> En tout cas, écrire tout ça a dur te faire du bien, maintenant tu es LIBRE !<br /> Bisous ma belle<br />
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M
<br /> <br /> Tu as raison, ces gens là ont des soucis mais ne font même pas l'effort de les régler et préfèrent s'en prendre aux autres ! C'est bien triste. <br /> <br /> <br /> C'est vrai que poser des mots sur ce malaise m'a fait un bien fou (même si évidemment tout n'est pas réglé pour autant...) Des bizoos !<br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> Ton article me parle tellement...car j'en ai eu des psychopathes, le pire étant un exactement comme le tien. Qui m'a fait les mêmes plans, m'appelant même chez moi pour m'engueuler, par plaisir,<br /> m'humiliait et m'a même fait une scène car il avait pensé un truc et que je n'étais pas dans sa tête pour le deviner.<br /> <br /> <br /> Je sais comme on se sent après. J'ai craqué à la suivante qui s'est mise à m'insulter ivre morte en public et je l'ai remise à sa place (calmement, mais j'ai osé dépasser une frontière en terme<br /> d'autorité c'était bizarre sur le coup). Et je me suis juré que désormais je n'hésiterais plus à obtenir le respect qu'on me devait. Je m'y suis tenue (j'ai eu d'autres psychopathes après mais<br /> différents). Ce qui m'a aidé juste après ça, c'est avoir les félicitations d'une très grosse structure très à cheval sur la qualité du taf. Depuis je ne doute plus de moi professionnellement et<br /> je m'impose s'il y a besoin.<br /> <br /> <br /> Ok, maintenant il me manque un taf pour réappliquer tout ça ;)<br />
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M
<br /> <br /> Après avoir vécu cela, ça doit faire un bien fou de recevoir des félicitations !! C'est chouette que tu aies réussi à retrouver confiance en toi depuis. Merci d'avoir partagé ton exprérience avec<br /> moi en tout cas :)<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Fais toi confiance ma belle! Tu as gagné ta liberté, et ce n'est pas rien. Le harcèlement au travail est un vrai fléau.<br /> <br /> <br /> On ne finit par se rendre compte de l'emprise qu'une fois dehors. Quand on le vit, on ne pense même pas que des personnes humaines puissent faire autant de mal aux autres et autant de ravages.<br /> <br /> <br /> Tu t'en sors petit à petit. Donnes toi du temps (et mort aux cons comme on dit chez moi!)<br /> <br /> <br /> Je t'embrasse fort Elodie.<br /> <br /> <br />  <br />
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M
<br /> <br /> Oui, c'est vrai que l'on ne s'imagine jamais que des gens puissent faire le mal autout d'eux ! Tout à fait, mort aux cons ! Merci de tes encouragements Marie, je t'embrasse !<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> Très bel article. J'aurais pu écrire la même chose l'année dernière. Alors, moi c'était pas par le dos mais par ma peau que ce stress s'exprimait, une sacré mauvaise expérience. Bon courage pour<br /> la suite.<br />
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M
<br /> <br /> Merci :) C'est terrible quand le corps en vient à extérioriser un malêtre... <br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Je comprends tout a fait ce que tu as du ressentir, moi je n'ai tenu que 2 ans, alors 7, je n'imagine même pas... Mon boulot et mon boss était devenu "toxique" et avais des effets sur ma<br /> santé. <br />
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M
<br /> <br /> C'est terrible qu'un boulot puisse avoir autant de conséquences sur nous quand on y pense...<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> J'ai vécu une situation similaire. On m'a laissé longtemps croire qu'à cause de mon handicap, je devais me montrer plus flexible, plus disponible puisque je ne pouvais pas faire comme tout le<br /> monde. Je me suis sentie redevable de mon patron de me garder malgré ma maladie alors qu'en fait, j'ai toujours été manipulée. Mais non, je culpabilisais ... J'ai mis longtemps à prendre<br /> conscience que ce n'était pas moi qui y perdait en partant mais le jour où je l'ai compris, je me suis sentie libérée.<br />
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M
<br /> <br /> Oh comme ce que tu me dis me parle !! Cette sensation de liberté n'a vraiment pas de prix :)<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> Quel con<br />
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M
<br /> <br /> Pas mieux ^^<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> OMG... un cas de harcèlement au travail de plus... je me demande si ce type se rend compte des dégâts qu'il peut faire... en tout cas, c'est et ça reste uniquement du travail... ça ne doit pas<br /> influencer l'image que tu as de toi (je sais que c'est facile à dire) car ta personne ne se limite pas à ce travail... courage ! <br />
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M
<br /> <br /> Et oui, c'est visiblement le truc à la mode ! Et non, je suis certaine qu'il ne se rend absolument pas compte des dégats !! Merci de tes encouragements en tout cas :)<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> Bien sûr que tu vas y arriver. On ne se remet pas facilement de tels comportements et sans forcément en avoir conscience chaque jour, la confiance en soi disparaît au fil du temps et après pour<br /> la récupérer, ce n'est pas du gâteau. Il me rappelle des médecins pour lesquels j'ai travaillé juste 2 semaines. J'étais en CDD dans un cabinet de radiologie, ils m'ont humiliée et fait des<br /> reproches, devant les patients qui heureusement avaient toujours un mot gentil à mon égard, alors que personne ne m'avait montré comment il fallait que je fasse les choses. Juste faire du mieux<br /> possible et essayer de faire au mieux, vu que je ne pouvais compter que sur moi. On a voulu me prolonger, paradoxal comme c'était pff. J'ai refusé et dit ce que j'avais sur le coeur, ce que<br /> j'avais ressenti durant ces 2 semaines dans ce foutoir où même les patients semblaient se demander où ils atterrissaient... j'ai été mise en invalidité peu de temps après, heureusement j'ai<br /> retravaillé pour l'établissement où j'allais souvent, mais ces 2 semaines où je rentrais en pleurs chez moi, elles sont ancrées en moi et la confiance s'est barrée. Ne le laisse pas faire trop de<br /> dégâts, tu as assez payé autant moralement que physiquement après ton départ. Tu sais ce que tu vaux, tu vas réussir dans tes projets et quand tu retrouveras quelque chose, envoie lui une copie<br /> de ton contrat de travail ou tout autre document selon tes projets, avec ce genre de lettre où tu lui déballe tout ce que tu as sur le coeur, à ce co**ard fini. J'ai espoir qu'il coule, pourtant<br /> suis pas du genre à souhaiter du mal aux gens, mais certains ne récoltent que ce qu'ils sèment, et c'est le cas pour lui..... bisous ma belle et je crois en toi
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M
<br /> <br /> Merci Delphine de ce long message, ça me touche beaucoup. Toujours fidèle au poste !<br /> <br /> <br /> Tu as bien fait de refuser et de dire ce que tu as sur le coeur. Parfois, il vaut mieux refuser un poste plutôt que de savoir que l'on sera traitée comme de la m**** !<br /> <br /> <br /> Je crois en fait qu'il ne mérite même pas que je lui donne de mes nouvelles. Surtout pour me préserver de ses attaques potentielles, je préfère le silence :) Je t'embrasse !<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Cas assez typique du patron, ou d'un supérieur, pervert. On ne se rend compte de son emprise, de son harcèlement que lorsqu'on a pu sortir de ses rets. C'est bien analysé.<br /> <br /> <br /> Bonne continuation sur le nouveau chemin qui s'ouvre.<br />
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M
<br /> <br /> En effet... Merci de vos encouragements :)<br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> Parfois, les employeurs oublient que nous sommes des êtres humains. En fait, parfois, ils nous prennent pour de la m**** tout simplement, abusant de notre besoin de survivre. Ils baffouent notre<br /> dignité. C'est vraiment malheureux.<br />
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M
<br /> <br /> Oui, je crois que les employeurs n'ont pas du tout les mêmes priorités que nous, du coup ils font parfois n'importe quoi pour obtenir ce qu'ils souhaitent !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />