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Quelques mots me concernant ...

 

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Je vous laisse découvrir mon blog où vous trouverez les témoignages, anecdotes et coups de gueule d'une presque trentenaire en situation de handicap qui essaie d'attraper les instants de vie au vol ! Écrire me fait du bien et échanger encore plus ! Alors n'hésitez surtout pas à réagir... Mon message est clair: dédramatisons la maladie ou le handicap. Faisons en une force !

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 12:54

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En ce moment, je réfléchis beaucoup. Beaucoup trop même. Je pense aux choses qui comptent dans la vie. Ces choses qui la rendent moins dure parfois. Je pense à toutes les personnes qui m'entourent et qui comptent pour moi. Toutes ces personnes qui me font du bien, qui sont essentielles à mon équilibre. Et je me faisais une réflexion:

Prenons nous suffisamment le temps de dire aux personnes qui nous sont proches
à quel point elles comptent pour nous ?

Et la réponse qui m'est venue le plus vite à l'esprit est que probablement non. Non, certains d'entre nous ont du mal à l'exprimer. Ne prennent pas le temps de le faire. De le dire. Pensant probablement à tort que l'autre le sait bien. Qu'il ne sert à rien de le dire à voix haute. En face de l'autre. Est-ce une question de pudeur ? Je me le demande vraiment.

Parce que je trouve qu'il est très important que les gens qui nous sont proches connaissent la valeur qu'ils ont à nos yeux. Et ne pas se contenter de penser qu'ils le savent bien. Que c'est évident ou acquis. Peut-être que ça l'est, au fond. Mais pourquoi ne pas avoir l'honnêteté ou bien même le courage de l'affirmer haut et fort de temps en temps. S'entendre dire des mots gentils fait beaucoup de bien. Je trouve même que cela peut renforcer les liens. 

Car parfois à trop attendre, à trop se dire que cela ne sert à rien de l'exprimer, les personnes ne sont plus là pour leur dire à quel point elles étaient chères à notre coeur. On ne sait pas de quoi sera fait demain. On peut juste savoir ce qu'il se passe au jour le jour. Vivre de regrets n'est pas agréable. Perdre un être cher et se demander après coup si il savait combien nous l'apprécions, combien le connaître était une chose précieuse n'est que torture.

Alors, prenons tous le temps de dire à ces personnes importantes dans nos vies, combien elles comptent. Combien leur présence nous est agréable. Indispensable. Leur dire que sans elles, ce ne serait pas pareil. Oser le dire à coeur ouvert, sans pudeur. Et surtout sans attendre. 

 

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 20:10

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Pour affronter le chemin de la vie, il est essentiel selon moi d'être bien accompagné. Car ce chemin est sinueux et nécessite parfois de trouver du soutien. Ne pas affronter les épreuves seul. Pour cela, il existe quelque chose d'assez exceptionnel et magique: l'amitié. La vraie, l'authentique. Je ne vous parle pas ici de simples copains ou copines. Non, je vous parle ici de véritables amis. Dont le nombre se compte généralement sur les cinq doigts de la main. Et encore. Pour les plus chanceux.


L'amitié inconditionnelle, évidente. Facile. Celle qui vous met à l'aise, ne vous prend pas la tête. Ce sentiment rassurant qui vous permet parfois d'affronter les obstacles plus sereinement. En sachant que quelqu'un sera là pour vous rattraper au vol si les choses ne se passent pas comme prévu. 


Un ami est quelqu'un avec qui nous sommes capables de nous mettre le cœur à nu. Sans tabou, sans complexe. Un vrai ami est celui avec qui nous partageons les bons comme les mauvais moments. Qui répondra toujours présent le moment venu. Ou à l'inverse qui saura s'effacer lorsqu'il le faudra. Quelqu'un qui s'inquiétera d'un silence. Qui saura quand cela ne va pas et qui saura faire le nécessaire. 

 

L'amitié est précieuse. Elle permet d'avoir le courage d'affronter la vie. De se sentir suffisamment solide pour tenir le coup et ne pas céder au premier moment difficile qui vient se mettre en travers de notre chemin. L'amitié permet l'échange. L'ouverture aux autres. On ne peut raisonnablement pas imaginer de vieillir sans connaître quelqu'un qui saura nous voir grandir, évoluer à ses côtés. Qui saura nous dire si nous prenons le mauvais chemin, la mauvaise direction. Qui n'hésitera pas à nous dire des choses que l'on n'a pas envie d'entendre par moment. Un ami est une personne qui nous choisira et nous acceptera tel que nous sommes. Et qui ne cherchera pas à nous changer et nous modeler à son image. 


Être ami avec quelqu'un, c'est se soucier de lui. Vraiment. De s'inquiéter de ce qui se passe dans sa vie, comme si cela concernait notre propre vie. C'est avoir le cœur qui fait mal quand il lui arrive quelque chose de malheureux. Ou alors d'avoir les yeux qui pleurent de joie quand un événement heureux se produit dans sa vie.

 

L'amitié est une chose dont il faut prendre soin. À chaque instant.

Il faut se battre pour les gens qu'on aime dans la vie. Car rien n'est acquis.

 

♥ ♥   

 

« Le temps confirme l'amitié. »  Henri Lacordaire

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 19:55

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Ces derniers jours, j'ai un sommeil agité. Mes nuits ne sont pas franchement reposantes. La raison est simple: je fais beaucoup de cauchemars. Tous plus bizarres les uns des autres, je dois l'avouer. Je me demande comment le cerveau réussit à associer parfois des choses qui n'ont rien à voir ensemble sur le papier. Parce que le résultat n'est pas toujours fameux. Et encore moins agréable.

Ce matin, je me suis demandée pourquoi justement dans ces cauchemars que je fais, il est question d'éléments du passé. Des choses auquelles je ne pense plus. Auxquelles je n'ai plus envie de penser. Pourtant cela se produit, malgré moi. Je me réveille souvent en étant perturbée. Bousculée par ces souvenirs qui s'incrustent dans mes rêves. Sans y être invités. Au contraire.

Le fait d'être contrariée la journée a t-il des conséquences sur nos nuits ? Le cerveau prend-il l'habitude de formaliser ces réflexions à travers des éléments du passé, perturbateurs ? Est-ce que c'est une manière pour lui de faire le tri ? Comme pour évacuer le surplus d'informations entassées dans notre tête ? Parce que j'ai du mal à trouver des raisons valables à l'intrusion du passé dans mes nuits.

Je préfère quand mes rêves me font voyager. Quand ils me font du bien. Pas quand ils me replongent la tête dans des souvenirs oubliés. Ou ignorés. Quel est le message à comprendre ? Que je suis perturbée ? Ou tout simplement dois-je considérer ces cauchemars comme un moyen qu'à mon esprit de laisser s'envoler pour toujours des choses, des souvenirs qui ne font plus partie de moi. De ma vie. À vrai dire, je crois que je préfère voir les choses de cette façon là...

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 19:35
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Il y a des journées comme aujourd'hui qui me laissent creuse. Comme vidée de toute énergie. Le corps refusant d'effectuer le moindre effort. Ou alors vraiment le stricte minimum.

Il est clair que dans ces moments là, le contenu de ma soirée va être très limité. Pas question de faire des projets de sortie. Pas le courage. 

Ce sentiment est très frustrant parce que finalement la journée quand on est occupés au boulot, on pense à toutes les choses qu'on aura envie de faire en rentrant. D'ailleurs bien souvent, penser à toutes ces choses m'aide à tenir la journée. Cela me donne presque du courage. Sauf que.

Sauf qu'une fois rentrée, les soirs comme ce soir, la fatigue prend le dessus sur les envies. Et je trouve vraiment cela désagréable. Extrêmement frustrant. Cette contradiction me laisse perplexe à chaque fois que cela se produit. C'est vrai quoi, je me dis qu'il ne peut pas y avoir que le boulot dans la vie. Pourtant aujourd'hui, je n'aurai pas fait beaucoup plus que gérer mes projets au boulot. J'avais hâte de rentrer pour faire des choses qui me font plaisir. Et puis me voilà, les pieds sur le canapé incapable de me motiver à faire quoi que ce soit. Pas terrible, hein.

Allez, espérons que la nuit sera réparatrice et que je commencerai la journée de demain pleine d'énergie. Prête à affronter la journée sereinement pour profiter de mon temps libre tellement attendu et utile une fois la journée terminée. Ce soir, c'est un coup pour rien.
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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 12:55

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Le printemps commençant à trouver ses marques ces derniers jours, il est devenu très plaisant de penser à toutes les petites tenues sympas que l'on va pouvoir porter. Adieu les cols roulés, les gros pulls de laine. Ma garde robe préférée va pouvoir à nouveau prendre l'air. Et ne plus être enfermée dans le noir, les vêtements tous entassés les uns contre les autres. Moi, grande frileuse que je suis, j'accueille avec grande impatience ces degrés supplémentaires et les rayons du soleil. Cette jolie lumière qui envahit nos journées jusque de plus en plus tard le soir.


Seulement voilà, qui dit nouvelles petites tenus, dit se sentir bien dans son corps. Pour arrêter de se cacher derrière des épaisseurs de vêtements. Comme chaque années, l'hiver et ses plats riches ont laissé quelques kilos superflus sur leur passage. Me voilà donc envahie par l'idée de les faire disparaitre. J'ai donc entamé un régime, il y a presque un mois et demie de cela maintenant.


Attention quand je dis régime, libre à chacun de mettre ce qu'il veut derrière ce mot grossier. Pour ma part, cela consiste à rééquilibrer mon alimentation. Réduire les quantités. Les degrés supplémentaires encouragent à se laisser tenter par des crudités. Parce que moi, perso, manger froid en hiver, je n'y arrive pas. Donc là, je me creuse la tête pour trouver des plats sympas à cuisiner avec des légumes frais. Je réduis juste les graisses inutiles.


Je fais quelques sacrifices. Notamment, moi qui adore faire de la pâtisserie parce que ça me détend. Je laisse désormais un peu au repos mon si joli robot de cuisine. Mon meilleur pote dans ce domaine. L'inconvénient de faire des petits gâteaux, c'est qu'après, il faut tous les manger. À la limite, en ce moment, je voudrais juste pouvoir les faire, avoir plaisir à les réaliser. Mais ne pas avoir à les déguster derrière. Espoir, espoir quand tu nous tiens...


Mais pour que ce régime tienne dans la longueur, je sais que je dois m'accorder des petits plaisirs de temps en temps. Sinon je ne tiendrai pas, je le sais. Trop de frustration peut avoir des conséquences désastreuses derrière. Arriver affamé au repas du soir par exemple est une très mauvaise idée. Je m'autorise donc des petits écarts de temps en temps. C'est essentiel.


Bref, tout ça pour dire que depuis plusieurs semaines, je me suis mis un objectif en tête.  Avec une espèce de date buttoir: mon départ en vacances le 1er Mai. Parce que j'ai envie de partir en voyage l'esprit léger, en étant bien dans mon corps. Pouvoir porter des petites robes sans passer mes journées à me trouver trop grosse et me pourrir la tête. Aujourd'hui, je suis fière de ne pas avoir craqué. Je vois que mes efforts commencent à porter leurs fruits. Je flotte un peu dans mes vêtements. Je me sens un peu plus fine. Tout cela est très encourageant car je me dis que je n'ai pas fait tout cela pour rien. Je n'ai pas de balance chez moi donc je ne peux pas savoir précisément combien j'ai perdu mais je me fie à mes yeux, mes sensations. Mes vêtements parlent pour moi, aussi.


Je trouve que savoir tenir ses objectifs est très important. Et surtout très valorisant. L'esprit a selon moi un grand pouvoir sur le corps. Il faut y aller petit pas par petit pas. Ne pas mettre la barre trop haute. Sinon, c'est la déception assurée. Moi, je dis qu'il n'y a pas de petites victoires dans la vie !
 

♥ ♥  


« Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier. »  William Shakespeare

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 16:00

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La semaine dernière France 5 a diffusé un documentaire très touchant "Je marcherai jusqu'à la mer." Il retrace l'histoire d'Alex qui, à 18 ans, est tombée, tête la première, dans un escalier en marbre. S'ensuivent neuf mois de coma. Puis un corps brisé, qui ne répond plus. Enfermée plus de deux ans dans un "locked-in syndrome", elle en sort miraculeusement mais reste muette pendant cinq ans. 

Petit à petit, alors que les médecins la disent condamnée à l'état végétatif, elle regagne l'usage de ses membres, puis celui de la parole. Tout cela en partie grâce à l’aide de son père qui, jamais, n’a renoncé à voir, dans ce corps immobile et muet, sa fille chérie. "J’ai toujours pensé qu’elle était vivante, qu’elle allait s’en sortir. Quand je voyais ses yeux bouger, on me disait que c’était mon imagination.Voilà maintenant dix-sept ans qu'Alex se bat chaque jour contre son corps. Des années de séances de rééducation pour dépasser la paralysie, regagner un peu d'autonomie et vivre pleinement sa vie de femme... Et pourtant, Alex vit son handicap comme une opportunité.

 

Elle a une phrase au début du documentaire qui m'a beaucoup émue et qui a trouvé écho en moi:


Au début, ça a été dur d’apprendre à me battre mais, petit à petit, c’est devenu une philosophie.


Cette façon de voir la vie est tellement juste. Tellement optimiste. Comme une manière de prendre positivement les épreuves de la vie qu'elle a pu traverser. Comme si rien n'arrivait sans raison.

 

Dix-sept ans après son accident, en fauteuil roulant, elle continue à se battre chaque jour pour apprivoiser son corps qui peine à lui répondre et recomposer sa vie. Une vie de femme que l’auteure de ce documentaire, Stéphanie Pillonca-Kervern, nous montre sans tabou, dans son intimité. On la voit donc en train de se maquiller, s’épiler, se laver, s’habiller, faire des photos de charme, surfer sur des sites internet de rencontres, fréquenter un sex-shop…


Aujourd'hui, Alex s'efforce de mener sa vie tambour battant, en multipliant les expériences et les défis, en se battant pour vivre sans limite et sans tabou en dépit de son handicap. Saut en parachute, équithérapie, séance de slam, rencontre avec Grand Corps Malade… Une vie à cent à l'heure !

Elle a passé deux années au centre de rééducation de Berck. Là, elle s’était fait la promesse, un jour, de traverser en marchant la grande plage de sable jusqu’à l’Océan. C'est une promesse qu'elle a tenu, la tête haute et le sourire jusqu'aux oreilles. Avec une telle fierté dans le regard. Cette image est sublime à voir. Porteuse d'un grand espoir. Montrant qu'après tout rien n'est impossible dans la vie. Que tout peut s'obtenir à force de volonté et de courage.

Ce portrait de 52 minutes est celui d'une belle jeune femme vivante. Une femme vraie. En accord avec ce qu'elle est. De la pointe de ses orteils à la racine de ses cheveux, son corps entier crie son envie d’exister. Son histoire, son parcours donnent une grande leçon de courage. Alex est forte et digne face à son handicap. Rien ne semble pouvoir l'arrêter. Comme elle le dit à un moment "j'aurai tout le temps de me reposer quand je serai vieille !" C'est aussi ma façon de voir la vie. Comme si tout dans la vie avait une date d'expiration et qu'il fallait profiter à fond de chaque instant. Car tout peut s'envoler très vite...

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 20:30
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La journée de boulot a été longue aujourd'hui. Résultat ce soir, je suis épuisée. Comme vidée de toute énergie. Pourtant mon esprit semble vouloir fonctionner à cent à l'heure. Plein d'idées, de pensées me passent par la tête. Et une réflexion en particulier prend beaucoup de place. 

Je me faisais la réflexion que j'ai commencé la nouvelle année avec plein de bonnes résolutions, plein de nouveaux projets à réaliser. Je souhaitais en particulier prendre un chemin professionnel différent. Plus épanouissant. Dans un domaine qui me tient particulièrement à cœur. Un virage à prendre pour me retrouver en chemin. Faire de mon travail un moment enrichissant et intimement lié à ma vie. À ce que je suis. 

Nous sommes au mois d'Avril et je fais le constat que rien n'a bougé dans ce domaine là.
Ou du moins pas grand chose. Rien de suffisant.
Alors que s'est-il passé ? Où est donc passé ce temps ? 

J'essaie de comprendre ce qu'il s'est passé. Analyser les raisons de cette absence d'action dans ma recherche. Je dois reconnaître que ce début d'année a été mouvementé. Dans le prolongement d'une fin d'année particulièrement triste et éprouvante. Beaucoup de soucis sont venus se mettre en travers de mon chemin. J'ai eu à gérer une situation d'urgence. Il a fallu prioriser. En Février, j'ai du me lancer tête baissée dans une nouvelle recherche de prestataire de services pour m'aider au quotidien. Cette recherche a été fatigante mais surtout le combat contre l'ancien prestataire a laissé des traces. Tout cela a été un grand coup de poing dans mes projets. J'étais comme paralysée.

Alors bien sur avec le recul, c'était ce qu'il y avait de mieux à faire. Il ne pouvait en être autrement. Mais je ne peux pas nier qu'aujourd'hui, je regrette qu'il en soit ainsi. Parce que ces épreuves m'ont laissé un certain temps sur le bord du chemin. Essoufflée. Comme spectatrice de ce qu'il se passait dans ma vie. Je n'avais plus l'énergie ni l'envie de me relancer dans mes recherches.

Ce soir, je cherche à prendre de la distance. Je voudrais que cela ne se reproduise plus. Je ne peux pas ignorer que la vie est éternellement faite de hauts et de bas. Ça, j'en ai très rapidement pris conscience. Mais je voudrais que cela ne suffise plus à me freiner dans mes projets. Des galères, j'en aurai toujours, c'est inévitable. Il ne faut plus que je me laisse dépasser. Décourager. Car réaliser mes projets, toucher du bout des doigts mes rêves me remplira d'une telle énergie que les épreuves de la vie ne devront plus atteindre ma motivation. En tout cas, je l'espère de tout cœur.

Je ne veux plus remettre mes projets au lendemain. La vie est trop courte.
Il faut se donner les moyens de réaliser ses rêves.
Peu importent les embûches...
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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 19:50
2013-03-09 22.11.15

 

Certaines journées sont comme imprégnées de magie. Hors du temps. Comme une parenthèse dans l'agitation de la vie quotidienne. Il faut savoir attraper au vol ces instants là. S'imprégner de ce temps au ralenti. Car ces instants peuvent devenir précieux. Rares.

Ce dimanche avait comme un avant goût de printemps. Enfin. Il serait temps, car le mois d'avril a déjà pris ses marques. Le soleil avait décidé de nous faire profiter de ses jolis rayons. Alors il était grand temps de laisser la maison et de sortir s'aérer. Prendre l'air. Prendre le large. Et laisser l'opportunité à son esprit de s'évader un peu. Les soucis peuvent bien attendre quelques heures, après tout. 

Dans la vie, il est important de s'accorder des moments de pause. Cela s'appelle l'instinct de survie, probablement. Alors cette balade au grand air avait un goût de bienvenue. Arpenter les chemins sans but précis. Ou bien peut-être juste celui de tout oublier. Le temps de quelques heures. Apprécier le ciel bleu, l'absence de vent. Et cette chaleur. Cette chaleur qui peine tant à s'installer alors qu'il serait grand temps. 

Reprendre le chemin de la maison et se dire que cela fait longtemps qu'il n'a pas été agréable de rester dehors. Sans se plaindre du froid. Sans compter les minutes pour rejoindre la chaleur de l'intérieur, au plus vite. Une fois rentré, se faire une joie de commencer le livre acheté la veille. S'installer confortablement et tourner les premières pages. Se retrouver aspirée par cette lecture. Au point de relever la tête trois heures plus tard, une fois le livre terminé. Prendre plaisir à réaliser que l'intrigue a suffi à nous faire voyager. À nous faire tout oublier. Le corps peut sans aucun doute s'évader par l'esprit. 

Comme il est agréable de terminer le week-end en se disant qu'il a été bénéfique. Que ces deux jours de repos ont suffit à jouer leur rôle de pansement. Après les journées de fatigue. De soucis, de contrariétés. Cela n'efface rien mais cela donne le courage d'affronter la suite. Peut-être un peu plus sereinement. Plus solide et plus fort. 
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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 11:00

2013-03-09 21.51.05

Parfois dans la vie, certaines épreuves suffisent à nous faire baisser la tête. À être découragé. Dans ces moments là, il faut s'accrocher à quelque chose pour tenir le coup. Ne pas craquer. Il est important de garder espoir malgré la noirceur environnante. Se dire que les choses vont forcément s'améliorer d'une manière ou d'une autre. Il ne peut raisonnablement pas en être autrement. À quoi bon être sur terre sinon ?

S'accrocher à ses rêves permet de ne pas perdre pied et de trouver une raison suffisante pour ne pas s'avouer vaincu. Prendre le temps de digérer les soucis. Se taire, seule. Réfléchir. Et puis, rebondir. Se dire que demain sera meilleur et retrouver une énergie un peu absente ces derniers temps.


Faire des projets. Avancer. Planifier des vacances au soleil pour la fin du mois. Se dire que cela nous fera le plus grand bien. Que ce petit projet nous aide à ne plus trop redouter demain. Avoir hâte de sentir le soleil sur sa peau, prendre des couleurs. Oublier l'hiver si long. Laisser le quotidien, la routine à la maison. Et tout oublier le temps de quelques jours. Pour revenir apaisé, reposé. L'esprit libéré. Prête à affronter de nouveau la vie. Et sa réalité.


Voilà le rêve auquel je m'accroche ces jours-ci pour tenir le coup. Rêver est essentiel dans la vie. Cela permet de s'évader un peu. Même si chacun des rêves  ne sont pas réalisables dans l'immédiat, il ne faut pas perdre espoir de les voir prendre vie un jour prochain...

 

♥ ♥  

 
« Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. » Antoine de Saint-Exupéry

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 16:25

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Les battements de mon cœur

Ne cesseront pas ma belle erreur

En langage des cils

Mes grands yeux disent: ainsi soit il

Ma peau, mon bel amant

Sa température plus un cran

En langage du corps

Dit sert moi vite et bien, serre moi fort

 

Love I don't know

Nothing about love you know

Hold me 'til the day is done

Oh my love Let's have some fun

 

Les voisins de dessus, cognent à grand coup de massue

Mais le sommier sonore,

Grince, grince, toujours plus fort

 

Nos corps sont confondus,

Nos âmes mélangées, fondues

Des gens y'en a des tonnes

Mais chez toi j'aime le moindre atome

 

Love i don't know

Nothing about love you know

Hold me 'til the day is done

Oh my love Let's have some fun

 

Les battements de mon cœur

Ne cesseront pas toute a l heure

Car je t ai dans... la peau

Et moi quand j'aime, quand j'aime c'est marteau

Je fais toutes les erreurs

Je pleure, je fouille, sonne la terreur

Je fais aussi plein d'effort

Oui sert moi vite et bien , serre moi fort

L'amour, tu n'y connais rien

L'amour, je n'y connais rien

Ma peau mon bel amant

Sa température + un cran

En langage du corps

Dit serre moi vite et bien , serre moi fort

 

Love i don't know

Nothing about love you know

Hold me 'til the day is gone

Oh my love Let's have some fun


*  *  *

 Love Song - Vanessa Paradis 

composé par Benjamin Biolay

Nouveau single de son prochain album



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